1. Pourquoi «démanger» n'est pas le contraire de «manger» ?
2. Comment expliquer le fait que «le ver vert va vers un verre vert en verre» est une phrase grammaticalement correcte ?
3. Pourquoi la lettre «ù» n'est-elle utilisée que dans le mot «où» ?
4. Comment les gens dont le français n'est pas la langue maternelle réussissent-ils à faire la différence entre «fils» et «fils» ?
5. Et comment sont-ils censés comprendre, à l'oral, que «sang», «sans» et «cent» sont trois mots bien différents
6. Ou que «c'est», «ces», «sait» et «s'est» ne veulent pas du tout dire la même chose ?
7. Pourquoi les mots «triomphe», «quatorze», «quinze», «monstre» ou «larve» ne riment-ils avec aucun autre ?
8. Comment se fait-il que le mot «guérison» soit l'anagramme du mot «soigneur» ?
09. Et «endolori» l'anagramme du mot «indolore» ??
10. Qui a décidé que les mots «amour», «délice» ou «orgue» devenaient féminins en passant au pluriel ?
11. Et qui a décidé que l'expression «courir sur le haricot» voudrait dire ce qu'elle veut dire ?
12. Ou qu'avoir «le cul bordé de nouilles» serait une belle métaphore pour la chance ?
13. N'y avait-il pas une option plus simple que quatre-vingt-dix-neuf pour le nombre qui vient juste avant cent
14. Et enfin, on pouvait pas trouver plus simple que «qu'est-ce que c'est» ?